Excellent état. Un nom manuscrit en première page
Si L'Évangile tel qu'il m'a été révélé est maintenant mondialement connu par le travail remarquable des Éditions Pisani en Italie, chacun se demandait, jusqu'à ce jour, non pas quel en était l'Auteur, mais qui avait été choisi pour instrument.
Jean Aulagnier a pu avoir accès aux textes originaux italiens, inédits jusqu'à présent en langue française. Sans complaisance aucune, il analyse, en froid scientifique, à la fois l'Œuvre et l'instrument. Ses conclusions sont sans ambiguïté : les révélations de Maria Valtorta sont d'origine divine directe. Mieux, pour la première fois, à l'aide des textes que Jésus dicta lui-même à cette âme victime, nous pouvons enfin avoir un portrait saisissant de l'instrument choisi par le Ciel. Le Ciel qui dicta :
"L'instrument (Maria Valtorta) doit rester ignorée jusqu'après sa mort. Il ne s'agit pas de rendre célèbre la plume d'une narratrice par un de ces sots enthousiasmes de foule. C'est l'Auteur qui doit être célébré. Maria n'est que Ma plume. Rien de plus. L'Auteur, c'est Moi. La Pensée est la Mienne."
"...Elle doit être guidée par un père, pris parmi les meilleurs, parce que les âmes retenues pour de telles missions ont deux fois, dix fois plus besoin d'un guide sacerdotal..."
"Elle vous demande de la protéger et de protéger son œuvre. Elle ne souhaite que mourir, après avoir vu un volume de son œuvre approuvé par un des Ordinaires de l'Église. Soyez prompt. Mon "porte-voix" est une lumière qui s'éteint."
Voilà ce que Jean Aulagnier veut mettre en lumière, voilà ce qu'il souhaite maintenant que nous considérions : l'instrument, le "porte-voix" de Dieu, ce Dieu qui ne cesse de faire des merveilles pour nous révéler Son amour, Son infinie tendresse.
Le chant des cloches, triste ou joyeux, est là pour nous éveiller au surnaturel. De même, les "porte-voix" du Seigneur, telle Maria Valtorta, sont là pour nous rappeler que nous sommes Enfants de Dieu. Saurons-nous les entendre ?
Table des matières
Avant-propos - Une greffe spirituelle
L'APPROCHE DES ÉCRITS
L'Église face aux greffes spirituelles
La position de principe
Les critères d'appréciation
La réaction du croyant
Que faut-il penser des "grandes" révélations privées ?
Le cas de Maria d'Agréda
Le cas d'Anne-Catherine Emmerich
Ma découverte de Maria Valtorta
La vie de Maria Valtorta
La vie privée
L' "affaire" Maria Valtorta
L'analyse de l'œuvre de Maria Valtorta
Les caractéristiques générales des écrits
Les critères traditionnels de jugement
Les synchronismes ponctuels flagrants
La valeur historique des visions
Maria Valtorta et les Servites de Marie
L'état de santé de Maria Valtorta
Maria Valtorta, "porte-voix" de Dieu
La fonction de "porte-voix"
Maria Valtorta, "porte-voix" de Dieu
Retour sur les révélations privées : Maria d'Agréda
LES LEÇONS DES ÉCRITS
La culture chrétienne dans les écrits de Maria
Quelques rappels doctrinaux
La mariologie dans les écrits de Maria
Les ouvertures sur l'Au-delà
Les enseignements de Jésus pour le quotidien
À l'intention des catégories religieuses
Sur certaines catégories sociales
Sur la Science
Sur l'amour
Jésus et l'Apocalypse
CONCLUSION
ANNEXES
L'analyse des révélations de Maria d'Agréda
L'analyse historique des détails
L'analyse textuelle des détails
L'analyse de cohérence et de faisabilité des détails
L'analyse du Merveilleux
Conclusion générale
L'analyse des révélations d'Anne-Catherine Emmerich
Par rapport aux mœurs civiles et religieuses chez les Juifs de l'époque du Christ
Par rapport aux Évangiles
Par rapport à la topographie
Par rapport à l'Histoire
Un exemple typique des visions de Maria Valtorta
À la mémoire de Pie XII
Sur les premiers hommes
Le récit de la Création
Définition
Laissons parler la Science actuelle et lisons le récit
Résiac, 1992, 184 p.