Notre Dame de Paix - L'étonnante histoire de la statue de Henri de Joyeuse, duc et capucin
Parfait état
Du château de Couiza dans le Midi de la France aux quatre coins du globe.
Créée dans le Languedoc au début du XVIe siècle, une magnifique statue représentant une Vierge à l’Enfant et au rameau d’olivier, surnommée la Vierge des Joyeuse, connut une histoire très étonnante, reliée à une saga historique et familiale. La petite madone était l’objet des prières d’un père capucin au destin hors du commun, Henri de Joyeuse (1563-1608), qui était également duc et comte du Bouchage. Elle connut une quasi-épopée sur cinq siècles. Objet de pèlerinage, elle aurait miraculeusement guéri Louis XIV et survécut à la Révolution. Elle connut un incroyable essor dans le monde entier en étant répliquée sur les cinq continents en tant que Notre Dame de Paix.
Très attachée à la préservation du patrimoine historique et culturel et à sa valorisation, Suzanne Huc Bezombes est présidente de l’Association des Amis de la Ville et de la Cité de Carcassonne, sociétaire de l’Académie des arts et des sciences de Carcassonne et de la Société des Études Scientifiques de l’Aude. Elle signe ici un récit historique qui pourrait s’apparenter à une saga se déroulant sur plusieurs générations autour d’une famille où se rencontrent des faits d’armes, une suite d’événements politiques, des amours, des haines… Et au bout un incroyable message de Paix diffusé dans le monde entier par une petite vierge à la beauté intemporelle.
Table des matières
La Vierge et la Famille de Joyeuse
En Languedoc, la Maison de Joyeuse
Fondation de la Maison de Joyeuse
L'alliance avec la Famille de Voisins et l'arrivée dans l'Aude
La dévotion d'une famille
Une madone aux allures de déesse grecque
À Toulouse, Hôtel de la Trésorerie
Arrivée à Paris. La Vierge d'Henri de Joyeuse du Louvre à l'Hôtel du Bouchage
La Madone des Capucins au Couvent Royal rue Saint-Honoré à Paris, 1587-1790
Ange de Joyeuse, capucin
La Vierge au rameau d'olivier arrive chez les Capucins
Ange de Joyeuse contraint de quitter le froc pour ceindre l'épée
Le retour au couvent Saint-Honoré en 1599
La Madone devient Notre-Dame de Paix (1651)
La Vierge la plus vénérée des Parisiens jusqu'à la Révolution
La guérison de Louis XIV
La période de clandestinité de 1790 à 1806
Le contexte de l'époque. Picpus et la Terreur
Depuis 1806 à Picpus chez les religieuses des Sacrés Cœurs
La Congrégation des Sœurs des Sacrés Cœurs accueille la statue rue de Picpus
La dévotion à Notre-Dame de Paix se répand dans le monde entier
Invitation au voyage
L'image de la Vierge des Joyeuse aujourd'hui sur Internet
La statue originale à Picpus
Retour de "la Madone du Midi" en Languedoc
Annexes
Libre 2 Lire, 2024, 256 p.