Église romane, lieu d'énergie - Pour une géobiologie du Sacré
Excellent état
Il a beaucoup été écrit sur les églises. Beaucoup trop d'ailleurs, et les clés du message nous parviennent souvent déformées par le filtre de l'ego. Tout comme les autels ont été retournés, les valeurs ont été inversées... au point de rechercher à l'extérieur ce qui était à l'intérieur, au point de vouloir appréhender le physique et le subtil avec le même regard. Or, une église est par excellence, le lien entre le monde visible et le monde invisible. Et la religion elle-même s'est arrangée avec son dogme au point d'en oublier sa filiation et de renier son héritage initiatique, magique et énergétique.
L'église romane est plus qu'un ouvrage d'art c'est une machine à régénérer, à guérir qui fonctionne non seulement sur le plan physique, mais sur tous les plans de la conscience manifestée, du vital au spirituel. Et c'est aussi un lieu de prière !
En s'appuyant aussi bien sur les ressources de la géobiologie sacrée que sur les textes des Pères Apologistes de l'Église, Jacques Bonvin et Paul Trilloux permettent de comprendre les motivations profondes des moines bâtisseurs du Moyen Âge. Par l'utilisation concrète de la science des énergies cosmo-telluriques, ils savaient mettre l'homme en résonance avec le cosmos, le microcosme avec le macrocosme, et permettre à celui qui était libre de cœur, d'accéder selon son niveau de conscience, au feu ineffable et merveilleux des énergies divines.
Sommaire
Le nouveau regard de la géobiologie sacrée
Réseaux telluriques et énergie cosmique
De la Table d'Émeraude à la triple enceinte druidique
L'art de l'envoûtement
L'eau des origines
La porte étroite
Le temple solaire
Les chemins de vie et de mort
Symbolique énergétique des chapiteaux
Chapiteaux et plantes médicinales
L'autel, athanor cosmo-tellurique
La géobiologie symbolique de certains lieux sacrés : Thuret, Montfermy, Ars, Châtel-Montagne
Églises vivantes ou églises mortes
Dervy, 1992, 292 p.