Rennes-le-Château, étude critique

Très bon état, défauts mineurs

Une oeuvre de Nicolas Poussin, exposée au Musée du Louvre, Les Bergers d'Arcadie, révèle la clef permettant la recherche d'un fabuleux trésor.

Grâce à ce tableau, Béranger Saunière, curé d'un modeste village du sud de l'Aude : Rennes-le-Château, ancien fief du Ve Grand-Maître de l'Ordre des Templiers : Bertrand de Blanchefort, retrouva le secret de cette famille, à la fin du XIXe siècle.

Après Nicolas Poussin, David Teniers fils, Van Dyck, Béranger Saunière ressentit le besoin de transmettre le secret des Blanchefort, à sa manière, pour que d'autres après lui puissent se lancer sur les traces du trésor du Temple de Salomon.

Le lecteur, plus de cent ans après le prêtre, décodera les parchemins et les stèles funéraires cryptées ; il se forgera son intime conviction sur des déductions inédites et des preuves irréfutables.

L'accusation de trafic de messes fut-elle une "couverture" pour ce prêtre désireux de cacher des activités coupables d'une autre ampleur ?

Le dossier, ouvert sur une légende, se refermera sur des certitudes !

Sommaire

Premières découvertes

Béranger Saunière

Les deux dalles

Une inscription ancienne

Le texte complémentaire

Une bien singulière épitaphe

Le pilier "wisigoth"

La paille qui cache la poutre

Le secret des Blanchefort

Les parchemins

Le petit manuscrit

Le grand manuscrit

Le décodage

Les Bergers d'Arcadie

Compléments d'information

Le voyage à Paris

Les salons parisiens

Saint-Sulpice

Le Temple de Salomon

Boudet

Signé Boudet

Le message de Boudet

Du nom de Narbonne

Les messages de Saunière

Le besoin de transmettre

L'extérieur de l'église

L'intérieur de l'église

La tour Magdala

Le belvédère

Le cryptogramme

La grotte du jardin

Au pays des lanternes

Un terrain karstifié

Conclusions pour un secret ?

Le rêve d'Héliodore

Au seuil de la folie !...

À qui profite le crime ?

Le serpent rouge

L'effervescence littéraire

Dossiers secrets de Henri Lobineau

L'épicentre

Vérités Anciennes, 1978, 208 p.